Je sais que je n'ai pas donné de nouvelles depuis longtemps et je m'en excuse. Le spectacle (Thierry Baë a disparu) m'a beaucoup occupé. Il marche fort. C'est très surprenant de se retrouver sur la scène d'un théâtre. Très improbable. Je vis cette aventure comme des vacances. On doit jouer dans dix jours à Marseille, puis à Paris (la Villette), Strasbourg, Rennes, Lyon, etc...
Chaque fois, je tombe sur des visiteurs de ce blog ou des membres du comité de soutien. C'est toujours chaleureux. De ce côté-là, tout va bien, l'argent récolté a épongé une partie des dettes mais ce n'est pas fini. Sur ebay, les planches de bédé et les maillots de footballeur font grimper les enchères.
Plusieurs concerts de soutien sont prévus à Paris, Montpellier, Nancy. Outre mon vieux pote Bedos et mes amis de Groland, Joey Starr, Miossec, Katerine devraient être de la partie.
Pendant cette campagne qui occulte la question essentielle des évasions de capitaux, les affaires et les plaintes contre moi suivent leurs parcours sinueux. En France et surtout au Luxembourg (où c'est plus cher et plus risqué).
J'ai reçu plusieurs encouragements d'hommes politiques en campagne, y compris à droite. J'ai du mal à m'impliquer et je suis déçu par la campagne du parti socialiste. François Hollande que j'imagine très pris n'a pas répondu à ma lettre. C'est une demi surprise.
Un mot sur l'exposition où la plupart des grandes toiles et les deux installations (le big vide poche et le wall) ont été vendues. Là aussi, je ne m'y attendais pas. L'expo devrait bouger et se promener un peu partout. Une autre manière de résister.
Pour répondre aux internautes qui s'étonnent de la subjectivité tendancieuse de ce qui écrit sur moi sur Wikipédia, j'avais remarqué. A deux reprises, j'ai apporté des corrections. Chaque fois, un petit malin repasse derrière.
Je jette l'éponge et m'interroge: pourquoi tant de haine?
La bonne nouvelle c'est la sortie en poche de la domination du monde (fin avril je crois au Point Seuil) et aussi d'un roman qui, d'après ce que j'en ai lu, s'est largement inspiré de ma vie. L'auteur s'appelle Elisabeth Butterfly (ça sort chez Florent Massot en mars). Titre de l'oeuvre: l'emmerdeur. Je l'ai lu cette nuit et j'en ressors troublé. Gainsbourg disait "l'amour physique est sans issue". Face à l'inexorable agonie du journalisme, le combat politique aussi.
Chaque fois, je tombe sur des visiteurs de ce blog ou des membres du comité de soutien. C'est toujours chaleureux. De ce côté-là, tout va bien, l'argent récolté a épongé une partie des dettes mais ce n'est pas fini. Sur ebay, les planches de bédé et les maillots de footballeur font grimper les enchères.
Plusieurs concerts de soutien sont prévus à Paris, Montpellier, Nancy. Outre mon vieux pote Bedos et mes amis de Groland, Joey Starr, Miossec, Katerine devraient être de la partie.
Pendant cette campagne qui occulte la question essentielle des évasions de capitaux, les affaires et les plaintes contre moi suivent leurs parcours sinueux. En France et surtout au Luxembourg (où c'est plus cher et plus risqué).
J'ai reçu plusieurs encouragements d'hommes politiques en campagne, y compris à droite. J'ai du mal à m'impliquer et je suis déçu par la campagne du parti socialiste. François Hollande que j'imagine très pris n'a pas répondu à ma lettre. C'est une demi surprise.
Un mot sur l'exposition où la plupart des grandes toiles et les deux installations (le big vide poche et le wall) ont été vendues. Là aussi, je ne m'y attendais pas. L'expo devrait bouger et se promener un peu partout. Une autre manière de résister.
Pour répondre aux internautes qui s'étonnent de la subjectivité tendancieuse de ce qui écrit sur moi sur Wikipédia, j'avais remarqué. A deux reprises, j'ai apporté des corrections. Chaque fois, un petit malin repasse derrière.
Je jette l'éponge et m'interroge: pourquoi tant de haine?
La bonne nouvelle c'est la sortie en poche de la domination du monde (fin avril je crois au Point Seuil) et aussi d'un roman qui, d'après ce que j'en ai lu, s'est largement inspiré de ma vie. L'auteur s'appelle Elisabeth Butterfly (ça sort chez Florent Massot en mars). Titre de l'oeuvre: l'emmerdeur. Je l'ai lu cette nuit et j'en ressors troublé. Gainsbourg disait "l'amour physique est sans issue". Face à l'inexorable agonie du journalisme, le combat politique aussi.
Libellés : mots du jour de Denis R.
2 Comments:
Bonjour Denis,
Heureux de te sentir entouré et avec des projets qui s'enchaînent.
À bientôt,
Patrick
Denis,
Tu trouveras sur ce lien :
http://menilmontant.noosblog.fr/mon_weblog/2007/02/justice_deux_vi.html
la reprise de ton sujet et mes commentaires.
Confratreernellement.
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