Le facteur humain Toute société repose sur un système de règles visant à un résultat. Parmi les règles, certaines sont apparentes et exhibées. D’autres, implicites et intériorisées. Dans les systèmes les mieux rodés, les pièces s’emboîtent les unes aux autres et les individus agissent avec une précision mécanique pour éviter le doute, le frôlement.
La communication vers l’extérieur est sans rapport avec ce qui se tait à l’intérieur. Les changements de rythmes et d’orientations sont programmés depuis des lustres. Le profit maximum est perpétuellement l’objectif à atteindre. Plus le profit est grand, plus la système aura montré son efficacité.
Ces groupes sont organisés et dirigés. Ils fonctionnent sur l’obsession de la rentabilité, mais aussi sur la culture du secret et le rite de l’initiation. Plus on y est puissant et influent, mieux on doit savoir préserver et faire prospérer ses secrets. Le bon décideur doit rester vigilant et s’entourer d’initiés à qui il divulguera avec parcimonie ce qu’il sait et ce qu’il tait.
Dans ces systèmes les plus étendus et les mieux rodés, un minuscule grain de sable peut provoquer un dérèglement. Appelons ça l’élément incontrôlable ou le facteur humain.
Je suis le facteur humain d'une histoire complexe et protéiforme dont personne ne peut prévoir l'issue. Cette histoire est celle d’une multinationale utile à tous les banquiers de la planète.
La particularité des systèmes les mieux rodés est qu’ils s’interpénètrent et se protègent. Aucun système n’est hermétique. Le dysfonctionnement d’un élément peut, si les bonnes décisions ne sont pas prises, contaminer d’autres systèmes. C’est la théorie du chaos.
Plus un système est grand et interconnecté, plus un grain de sable peut en agglomérer d’autres, provoquer des dégâts et nuire au fonctionnement du business. L’ennemi à abattre dans ce cas, reste l’Information. Plus celle-ci se propagera, plus le système sera en danger. Le boulot des décideurs est alors d’agir vite et discrètement. Ils doivent déterminer l’origine de l’agression, délimiter son ampleur puis éliminer son ou ses auteurs..
L’élimination n’est pas une fin en soi. Elle n’est pas forcément physique et peut être symbolique. En cas d’impossibilité, le but sera de circonscrire l’agression. De neutraliser les agresseurs. D’interférer sur l’Information et de jouer sur le facteur temps. Avec moi, ils en ont perdu beaucoup.
La communication vers l’extérieur est sans rapport avec ce qui se tait à l’intérieur. Les changements de rythmes et d’orientations sont programmés depuis des lustres. Le profit maximum est perpétuellement l’objectif à atteindre. Plus le profit est grand, plus la système aura montré son efficacité.
Ces groupes sont organisés et dirigés. Ils fonctionnent sur l’obsession de la rentabilité, mais aussi sur la culture du secret et le rite de l’initiation. Plus on y est puissant et influent, mieux on doit savoir préserver et faire prospérer ses secrets. Le bon décideur doit rester vigilant et s’entourer d’initiés à qui il divulguera avec parcimonie ce qu’il sait et ce qu’il tait.
Dans ces systèmes les plus étendus et les mieux rodés, un minuscule grain de sable peut provoquer un dérèglement. Appelons ça l’élément incontrôlable ou le facteur humain.
Je suis le facteur humain d'une histoire complexe et protéiforme dont personne ne peut prévoir l'issue. Cette histoire est celle d’une multinationale utile à tous les banquiers de la planète.
La particularité des systèmes les mieux rodés est qu’ils s’interpénètrent et se protègent. Aucun système n’est hermétique. Le dysfonctionnement d’un élément peut, si les bonnes décisions ne sont pas prises, contaminer d’autres systèmes. C’est la théorie du chaos.
Plus un système est grand et interconnecté, plus un grain de sable peut en agglomérer d’autres, provoquer des dégâts et nuire au fonctionnement du business. L’ennemi à abattre dans ce cas, reste l’Information. Plus celle-ci se propagera, plus le système sera en danger. Le boulot des décideurs est alors d’agir vite et discrètement. Ils doivent déterminer l’origine de l’agression, délimiter son ampleur puis éliminer son ou ses auteurs..
L’élimination n’est pas une fin en soi. Elle n’est pas forcément physique et peut être symbolique. En cas d’impossibilité, le but sera de circonscrire l’agression. De neutraliser les agresseurs. D’interférer sur l’Information et de jouer sur le facteur temps. Avec moi, ils en ont perdu beaucoup.
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